Patrimoine en danger
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Lundi, 09 Août 2010 11:49 |
Une initiative du service des postes équatoriennes, de la Police Anti-narcotiques et de l'Institut National du Patrimoine Culturel (INPC), vise à éviter la sortie de biens culturels du pays. Si le système postal équatorien reçoit un paquet à destination de l'étranger où figure un objet (céramique, tableau) censé appartenir au patrimoine national, ce-dernier ne sera pas envoyé. Il sera demandé à l'expéditeur de se rendre à l'INPC afin d'obtenir un document certifiant que le bien en question n'est pas répertorié en tant que bien de valeur, appartenant au patrimoine culturel de la nation, afin de s'assurer que la présomption qu'il s'agit d'une oeuvre protégée ne s'interpose pas dans le processus postal, et que, à Quito, ou un nouveau contrôle est effectué, une vérification du paquet et éventuellement sa rétention, soient pratiqués.
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Mise à jour le Lundi, 09 Août 2010 12:10 |
Commentaires
ES AHÍ DONDE LAS AUTORIDADES DEL PATRIMONIO CULTURAL DEL PAÍS DEBEN INTERVENIR, SOLICITANDO A LOS DUEÑOS DE ESTAS CHACINERÍAS LOS DOCUMENTOS QUE ACREDITEN EN DONDE Y A QUIÉN ADQUIRIERON TALES PIEZAS. DE SEGURO QUE NO TIENEN Y NO PUEDEN TENER POR QUE TODAS LAS PIEZAS ARQUEOLÓGICAS QUE COMERCIAN FUERON EXTRAÍDAS DE ALGÚN YACIMIENTO O ROBADAS DE ALGÚN "MUSEO".
Byron Camino (Unidad de Tráfico Ilícito del INPC)