Écrit par Gaëtan Juillard
|
Mardi, 16 Septembre 2014 04:42 |
Nous avons le plaisir de vous annoncer la soutenance de la thèse de doctorat d’ethnoécologie de Maria-Gabriela Zurita Benavides intitulée :
Du « temps du tapir » à nos jours : les marques du temps dans le paysage. Perspectives de deux villages waorani sur les relations entre les espaces forestiers et le temps en Amazonie équatorienne.
La soutenance se tiendra le 16 septembre 2014 à 13h30 au Muséum national d’histoire naturelle (Bibliothèque de Biophysique), 43, rue Cuvier, 75005 Paris, 1er étage.
Le jury sera composé de :
- Hélène GUETAT. École Nationale de Formation Agronomique, Toulouse. RAPPORTEUSE
- Philipe ERIKSON. Université Paris Ouest Nanterre, La Défense. RAPPORTEUR
- Serge BAHUCHET. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. EXAMINATEUR
- Elise DEMEULENAERE. Centre national de recherche scientifique. EXAMINATRICE
- Laura RIVAL. University of Oxford, Oxford. CODIRECTRICE DE THÈSE
- Laure EMPERAIRE. Institut de Recherche pour le Développement, Brasilia. DIRECTRICE DE THÈSE
Résumé :
Le paysage forestier constitue un livre ouvert de l’histoire sociale et écologique des Waorani au nord-est de l'Equateur. Les pratiques culturales de cette société ont fluctué au long de son histoire selon les aléas économiques et politiques; elles ont transformé le milieu naturel en y laissant des empreintes des activités de cueillette, chasse et agriculture. Dans les transformations des forêts s’inscrit l’impact des Waorani, ce qui permet d’expliquer les processus sociaux et écologiques qui conduisent à l’état observable de la forêt. Cette thèse nous permet d’appréhender les dimensions spatiales, temporelles et sociales du paysage waorani. L'histoire orale composée des traits culturels et des savoirs locaux naturalistes fait appel aux éléments du paysage pour transporter les auditeurs dans le passé ; des lieux et des individus végétaux sont ainsi mobilisés dans la construction de la mémoire collective, garant de la reproduction sociale. Un outil analytique, les « catégories temporelles waorani », est proposé afin de repérer une période historique, quand des événements sont associés à des actions qui transforment la composition végétale d’un endroit déterminé. Cette thèse contribue à la réflexion sur les apports des savoirs locaux dans les dynamiques écologiques.
Mots clés : Waorani, paysage, mémoire, savoirs écologiques, temps, catégories temporelles, histoire orale.
|
Écrit par Atsushi Yamamoto
|
Vendredi, 20 Décembre 2013 03:57 |
Atsushi Yamamoto, 2012, Dinámica social en el Formativo de los Andes: Desde el punto de la vista de actividades y estrategias de sociedades del valle de Huancabamba, norte del Perú. Dissertation de Ph.D, École d'Études Culturelles et Sociales, Centre d'Études Supérieures (Japon).
Résumé :
La thèse se fonde sur les projets réalisés sur le site archéologique de Ingatambo et la vallée de Huancabamba, au nord du Pérou. Le site archéologique Ingatambo se situe dans le district de Pomahuaca (province de Jaén), dans le département de Cajamarca. Il s'agit d'un complexe architectural cérémoniel implanté sur la rive sud de la vallée de Huancabamba, à environ 1.000 m au-dessus du niveau de la mer. Malgré la quasi-absence d'études préalables, les résultats de notre prospection (2005) ont révélé une forte occupation humaine préhispanique dans la vallée, avec 129 sites au total. Soixante-deux sites archéologiques appartenant au Formatif ont été enregistrés ; Ingatambo en est le plus grand et le plus complexe.
À travers nos fouilles (2006, 2007 et 2011), nous avons mis au jour la longue histoire du site, qui comprend cinq phases de construction. La dernière occupation marque la construction de structures nommées "Tambos" -qui donnent leur nom au site-, construites à partir de structures formatives pré-existantes. Nous savons aujourd'hui que Ingatambo a eu une grande importance jusqu'au moment de son abandon lors de la période Inca. Dans le cas du Formatif, nous avons confirmé l'existence de trois phases appelées "Huancabamba" (2.500-1.200 av. J.-C.), "Pomahuaca" (1.200-800 av. J.-C.) et "Ingatambo" (800-550 av. J.-C.). Nous avons élucidé le processus de développement du centre cérémoniel, qui met en évidence une rénovation architecturale rituelle. Celle-ci commence sur une petite plateforme érigée à partir d'une surélévation naturelle favorisée par la topographie du terrain, et arrive jusqu'à une grande plateforme à la fin de la période. Nous pensons que la phase Ingatambo marqua la réalisation d'activités de rénovation plus intenses et concentrées. Ainsi, le gros de la main d'oeuvre se concentra sur cette phase, contribuant ainsi à faire de Ingatambo le centre d'intégration sociale de la vallée.
À partir des données récupérées lors de nos fouilles, nous proposons que la phase Huancabamba ne fut pas synonyme de contacts avec les régions voisines. Cependant, dès le début de la phase Pomahuaca, tout porte à croire que Ingatambo eut un grand rôle dans les interactions régionales, grâce au développement des routes, qui se sont progressivement transformées du fait du changement des modes de déplacement (de la marche vers l'utilisation de camélidés). En outre, pour la phase Ingatambo, les données suggèrent qu'Ingatambo fut fortement rattaché à la côte et la sierra nord, ainsi qu'à l'Amazonie (et ce dès la phase précédente). Ainsi, les interactions régionales ont eu un sens extrêmement important dans les changements sociaux survenus à Ingatambo. Ce site est localisé sur un point stratégique de connexion entre les routes qui rattachaient les différentes régions de la Sierra entre elles, ainsi qu'aux régions de la côte et l'Amazonie. Nous croyons ainsi que c'est la structure sociale de Ingatambo qui soutenait cette dynamique, en particulier grâce à ses leaders, qui tiraient efficacement parti du contexte.
Télécharger la thèse (en japonais) [PDF] Voir les rapports et articles du projet (en espagnol)
|
Mise à jour le Samedi, 21 Décembre 2013 08:38 |
Écrit par Sonia Zarrillo
|
Mercredi, 11 Juillet 2012 18:07 |
Sonia Zarrillo, 2012, Human Adaptation, Food Production, and Cultural Interaction during the Formative Period in Highland Ecuador, thèse de doctorat, Département d'archéologie, Calgary/Alberta
Résumé :
Ce travail se concentre sur la production de plantes comestibles, l'adaptation humaine ainsi que l'interaction culturelle des Andes équatoriennes pendant la Période Formative. J'ai ainsi effectué des analyses de grains d'amidon prélevés sur des résidus carbonisés provenant de vaisselle en céramique à usage culinaire et d'outils en pierre associés à quelques-uns des sites les plus anciens du Formatif de la Sierra. L'objectif recherché était de développer une synthèse régionale de la périodisation ainsi que de la nature de la production de plantes alimentaires dans la Sierra. La principale hypothèse à tester concernait la diffusion supposée vers la Sierra des modes de vie du littoral. Les sites étudiés ont inclus La Chimba, Tajamar, Cerro Narrío, Chaullabamba, La Vega, Trapichillo, et Santa Ana-La Florida (SALF). J'inclus également des données tirées d'analyses botaniques précédemment menées dans d'autres sites, Cotocollao en particulier.
Les analyses prouvent que les espèces cultivées dans les Andes, -telles que l'oxalide tubéreuse (oca), la pomme de terre, le lupin (chocho/tarwi) ainsi que le quinoa, le maïs et les haricots-, se retrouvent sur le site de Chaullabamba ainsi que sur les gisements situés au nord de ce dernier (La Chimba, Tajamar, et Cerro Narrío). Au moyen de l'analyse basée sur le principe de l'utilisation optimale des ressources, je propose qu'un système agricole andin "verticalement compact" était pratiqué sur ces sites, tout au moins pendant le Formatif Final, et peut-être bien plus tôt, tel que le suggèrent des données proxy (pollen), ainsi que plusieurs aspects du profil nutritif des plantes, qui évoquent un degré de parenté fortement ancré dans le temps parmi les espèces étudiées. En intégrant les dernières données disponibles au sujet de l'origine des espèces impliquées, je propose que l'interaction culturelle avec les autres groupes de la Sierra a surtout eu lieu à travers le couloir inter-andin, au long d'un axe nord-sud.
En revanche, les sites situés dans l'extrême sud du pays (La Vega et Trapichillo), ainsi que SALF, mettent en évidence des espèces cultivées propres à l'agriculture des basses terres tropicales, ce qui inclut le manioc, la patate douce, l'igname, ainsi que le maïs et les haricots, voire même le cacaco. Les résultats de SALF remontent quasiment au début du Formatif Ancien, ce qui démontre que la côte équatorienne n'était pas le seul "foyer culturel" des sociétés du Formatif Ancien. Dans l'extrême sud des Andes équatoriennes, l'interaction culturelle rend compte d'un axe orienté en direction est-ouest. Les groupes de la Sierra, des basses terres orientales ainsi que de la côte étaient donc impliqués dans des sphères d'interaction multiples. L'agriculture de la Sierra et la complexité socio-politique se sont développées in situ, et non pas à partir d'une diffusion unidirectionnelle en provenance de la côte équatorienne.
|
Mise à jour le Jeudi, 12 Juillet 2012 15:53 |
Écrit par Stefan Bohorquez
|
Dimanche, 08 Juillet 2012 12:46 |
“Reconstrucción y Análisis del Proceso Constructivo y de Uso de una Estructura Doméstica Manteña en López Viejo, Costa Sur de Manabí, Ecuador”. Mémoire présenté par Stefan José Bohórquez Gerardy en vue de l'obtention de la Licence en Archéologie. École Supérieure Politechnique du Littoral - Centre d'Études Archéologiques et Anthropologiques. Mai 2012.
Télécharger le mémoire [PDF]
|
Mise à jour le Lundi, 09 Juillet 2012 23:49 |
Écrit par Catherine Lara
|
Dimanche, 01 Juillet 2012 03:34 |
Catherine Lara, 2012, "Prospection archéologique du canton Jama (Manabí, Équateur)", Mémoire de Master 2 / Recherche - Archéologie Préhistorique et Protohistorique, Université de Paris I Panthéon Sorbonne
Résumé :
Ce mémoire se pose comme un état des lieux et une réflexion au sujet de la culture Jama-Coaque (240 av. J.-C à 1640 apr. J.-C.), dont le territoire se situe essentiellement dans la province de Manabí (littoral nord de l’actuel République de l’Équateur). Le travail présente ainsi les résultats d’une prospection de deux mois menée dans une partie de ce territoire (la juridiction du canton Jama). L’étude en question avait pour objectif la réalisation de la carte archéologique de la zone -579 kilomètres carrés-, à partir des principales problématiques existant autour de la culture Jama-Coaque. Celles-ci s’articulent principalement autour de l’organisation socio-économique et spatiale de cette manifestation culturelle, peu connue du point de vue archéologique -execption faite des travaux de James Zeidler et son équipe dans les années 80-, en partie du fait du pillage généralisé de son aire d’occupation. La prospection –par observation du matériel de surface-, s’est centrée autour des principaux bassins hydrographiques du canton, dont les sites -quatre-vingt-quatorze au total -, ont été repérés grâce aux données bibliographiques et ethnographiques. À partir d’une réflexion sur les types de sites identifiés et leur répartition spatiale, l’étude nuance les présupposés existant au sujet des principales problématiques concernant la culture Jama-Coaque, tout en mettant en évidence localement la complexité d’une manifestation culturelle jusqu’alors perçue comme homogène.
Télécharger le manuscrit [PDF]
|
Mise à jour le Mardi, 18 Décembre 2012 16:15 |
Écrit par Gabriela López
|
Mercredi, 27 Juin 2012 04:06 |
Gabriela López, 2012, Análisis pre-iconográfico de la cerámica precolombina de la provincia del Carchi, Mémoire présenté en vue de l'obtention du diplôme d'Anthropologue avec mention en Archéologie, Faculté de Sciences Humaines, École d'Anthropologie, Université Catholique de Quito.
Résumé :
Ce travail est né de l'intérêt suscité par les représentations iconographiques d'un groupe de pièces précolombiennes originaires de la province de Carchi, rattachées à des collections de l'Institut National du Patrimoine Culturel et la Banque Centrale de l'Équateur. Nous entendons par "iconographie" tout type de manifestation de type figuratif partant du présupposé de l'acquisition d'une valeur et d'un sens des images (Castañeiras 1998). Sur la base des nouvelles perspectives proposées dans la recherche archéologique, nous utilisons les paramètres de la sémiotique -science concernant les signes et les lois qui les gouvernent (Castañeiras 1998; Preucel 2006; Saussure 2005) et s'ouvrant par là même sur l'étude de la culture en tant que processus de communication-, comme contexte théorique-méthodologique de notre recherche. Notre étude se centre sur le développement de la sémiotique sur le plan visuel : cette dimension rend effectivement compte de signes et de phénomènes de communication. Les signes se rapportent à des entités abstraites basées sur un consensus culturel (Eco 1994) ; de fait, un message peut varier selon les codes y agissant par le biais de l'idéologie. Ainsi, les images de notre matériel céramique seront comprises en tant que codes évoluant au sein d'un modèle communicatif entièrement rattaché à une culture en particulier.
|
Mise à jour le Jeudi, 28 Juin 2012 11:58 |
Écrit par Anne-Rose De Fontainieu
|
Vendredi, 18 Mai 2012 13:47 |
Anne-Rose De Fontainieu, 2006, Les sociétés précolombiennes des Andes septentrionales : champs surélevés et constructions territoriales, thèse de Doctorat, École Doctorale d’Archéologie, Université de Paris I Panthéon Sorbonne
Résumé :
Cette recherche concerne les sociétés précolombiennes des "Andes septentrionales, d'Équateur et de Colombie, et plus particulièrement leurs modes d'implantation territoriale et d'organisation socio-politique. Les populations andines étudiées ont pour dénominateur commun d'avoir élaboré des structures agraires dites intensives, communément désignés sous le terme de " champs surélevés ". La présence de tels aménagements a presque toujours été imputée à une structure sociale de type " chefferie ", impliquant, par la concentration des productions agricoles, une forme certaine de centralisme politique. L'enquête se propose de disqualifier l'usage de ce concept anthropologique que l'archéologie andine a systématiquement employé pour cerner la nature de ces sociétés. Cette remise en question s'efforce d'appréhender la variété des situations à la fois écologiques et économiques liées aux champs surélevés comme autant de configurations territoriales singulières, mais néanmoins potentiellement stables au niveau politique. Par effet de miroir, l'objet archéologique " champ surélevé" lui-même, pourrait également souffrir d'une telle critique, tant il finit par être dépendant de l'hypothèse politique de la " chefferie ".
Source : SUDOC
|
Écrit par Anne Touchard
|
Vendredi, 18 Mai 2012 13:43 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
Anne Touchard-Houlbert, 2010, Rupture et continuité dans la chronologie de la côte équatorienne : réflexions autour de la culture Manteña-Guancavilca, thèse de Doctorat, École Doctorale d’Archéologie, Université de Paris I
Résumé :
La société Manteña-Guancavilca a occupé le littoral équatorien depuis le fleuve Chone au nord jusqu'au bassin du Guayas -au sud-ouest-, du VIIème siècle apr. J.-C. jusqu'à la conquête espagnole. L'analyse des datations radiocarbones nous a permis de définir le premier découpage chronologique en six étapes, avec une forte rupture vers 1100 apr. J.-C. Celle-ci s'observe par l'apparition de structures architecturales en adobe et en pierre. Les vestiges archéologiques ont montré que les populations occupaient le front de mer, l'intérieur des terres et les hauteurs de la cordillère occidentale. L'étude des pratiques funéraires témoigne d'une grande diversité des modes d'enterrement et de l'absence d'un schéma strict. La céramique mise au jour sur le site Japotó a révélé des influences de cultures antérieures aux Manteña-Guancavilca et de groupes périphériques, mais aussi des innovations stylistiques et techniques et une standardisation de la facture, qui témoignerait d'un pouvoir plus centralisé.
Source : SUDOC
Lire l'interview de l'auteur sur le site "Le Monde Précolombien" Lire l'article "Surgimiento y evolución de la cultura Manteña-Guancavilca: reflexiones acerca de los cambios y continuidades en la costa del Ecuador prehispánico". Boletín del Instituto Francés de Estudios Andinos, vol. 39, núm. 3, 2010, pp. 551-561 Télécharger le manuscrit de thèse [PDF]
|
Mise à jour le Samedi, 18 Janvier 2014 04:45 |
Écrit par Napoleón Almeida
|
Vendredi, 18 Mai 2012 13:41 |
Napoleón Almeida, 1982, Les "Zarzas", un groupe culturel tardif du sud de la province de Loja, en Équateur, Thèse pour le doctorat du 3ème cycle, Université de Paris I Panthéon Sorbonne.
|
Écrit par Jaime Idrovo Urigüen
|
Vendredi, 18 Mai 2012 13:40 |
Jaime Idrovo, 1984, Prospection archéologique de la vallée de Cuenca-Équateur, thèse de 3ème cycle, Université de Paris I Panthéon Sorbonne.
|
Écrit par Jaime Idrovo Urigüen
|
Vendredi, 18 Mai 2012 13:37 |
Jaime Idrovo, 1979, Aspectos funerarios entre los cañaris de Ingapirca, Maîtrise d'Archéologie UER d'Art et Archéologie, Université de Paris I Panthéon Sorbonne.
|
Mise à jour le Vendredi, 18 Mai 2012 14:49 |
Écrit par Fernando Astudillo Cueva
|
Mardi, 08 Mai 2012 10:32 |
Fernando J. Astudillo, 2011, Phytoliths, Palaeoenvironment and Human Settlement of the Northern Ecuadorian Andes, mémoire de master, Département d'Archéologie, Université de Calgary.
Résumé :
À partir d'analyses quantitatives de phytolithes, la présente étude se penche sur le terrassement agricole, la composition de la couverture végétale de l'Holocène moyen, le changement climatique, ainsi que les dynamiques de la végétation des Andes de páramo et des vallées inter-andines. Des échantillons paléo-écologiques provenant de terrasses ont été prélevés sur le site de Palo Blanco, dans la Sierra Septentrionale de l'Équateur. Ces-derniers reflètent la présence d'une couverture végétale permanente, dont la composition rend néanmoins compte de changements. L'on associe les changements mineurs observés dans les fréquences de couverture végétale de la sous-famille des Panicoideae, à un changement climatique survenu aux alentours de 3 640 av. J.-C. Des traces d'intervention humaine ont été observées à travers la modification de pentes naturelles, en vue de la mise en place de terrassements. Les résultats semblent indiquer que le changement climatique serait à l'origine d'une modification ancienne du paysage, éventuellement à des fins agricoles.
|
|
|