Ingapirca subsiste grâce aux fonds engendrés par le tourisme et gérés par une Comission Spéciale de l'Institut National du Patrimoine Culturel. Carlos Álvarez, Directeur de la Commune de Ingapirca, souligne néanmoins que l'entretien du complexe archéologique requiert l'investissement d'une plus grande quantité de fonds.

Des techniciens du Ministère de Coordination du Patrimoine Naturel et Culturel ont donc visité le site de façon à proposer une estimation des montants du décret d'état d'urgence culturel susceptibles d'être attribués à Ingapirca. En effet, les moyens actuels permettent tout juste le nettoyage du site, et non le développement d'un vrai plan de sauvetage qui réponde à l'état critique du complexe.

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