D'après El Mercurio, l'on calcule que l'Équateur compte 20 000 chemins précolombiens. Dans le cadre de l'initiative commune entre les sept pays traversés par le Qhapac ñan ou Chemin de l'Inca, l'Université de Cuenca et l'INPC étudient actuellement les tronçons associés aux ruines de Ingapirca, Culebrillas et Molleturo, ainsi que les vestiges du chemin situés dans les cantons Quillanga et Espíndola (province de Loja, frontière avec le Pérou).

L'étude en question se propose de valoriser et restaurer les vestiges du chemin et les ruines qui le longent, afin de les transformer en "produit touristique" et de contribuer à une "récupération culturelle", tel que le signale El Mercurio. En effet, le travail sera mené à bien aux côtés des communautés locales, qui pourront ainsi -on l'espère- bénéficier de nouvelles sources de revenus.

Le projet -financé par l'État- devrait en outre s'achever dans deux ans, grâce au travail commun d'archéologues, historiens, sociologues, ingénieurs en environnement, biologistes, géographes et professionnels du tourisme équatoriens et étrangers.

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Lire l'article "El camino inca de la Costa: Tramo Paredones-Puerto de Bola" dans Apachita
Lire le reportage sur le tronçon Naranjal/Molleturo dans El Telégrafo