Incógnita (Énigme), c'est le nom que nous avons donné à l'effigie qui préside et veille sur le site Arqueología Ecuatoriana, depuis toutes les fenêtres. Son origine est anecdotique, comme presque tout d'ailleurs dans la pratique archéologique équatorienne. Il s'agit d'une pièce unique, sans contexte connu, tombée entre nos mains de façon très paradoxale.
Cette rubrique a pour objectif de présenter l’actualité du panorama archéologique du pays, à travers quatre axes principaux: découvertes récentes, expositions, lancements et nouvelles publications, dénonciations.
Dans la section “Actualités”, le visiteur trouvera des liens vers des articles de journaux, ou des résumés de ces-derniers, reliés aux découvertes qui se font actuellement en Equateur.
La section “expositions” tiendra le visiteur au courant des expositions d’archéologie équatorienne en cours, dans le pays ou à l’étranger.
“Nouvelles publications et lancements” a pour but informer le public au sujet des publications récentes sur l’archéologie équatorienne.
Enfin, l’espace “Patrimoine en danger” se concentre autour de la protection du patrimoine archéologique du pays, en rendant publiques les activités archéologiques clandestines.
At the Museum of Art and Archeology - Pickard Hall University of Missouri – Columbia February 26-27, 2011 (Les Conférences sont gratuites et ouvertes au public)
A travers sa Direction Régionale (5), l'Institut National du Patrimoine Culturel a réalisé la présentation de l'Inventaire et du Rapport Technique pour la Prolongation de la Déclaration Patrimoniale du Cimetière Général de Guayaquil et des Étrangers.
Cette étude a présenté l'Inventaire et le Dossier Final, ainsi qu'un CD interactif qui permet de visualiser la conformation et la valeur patrimoniale du Cimetière de Guayaquil, ainsi qu'une présentation du projet des Parcours Culturels qui cherche à exploiter touristiquement le Cimetière de Guayaquil.
En février, le troisième mercredi du Patrimoine de l'année sera consacré à discuter au sujet des nouvelles technologies de l'information: les réseaux sociaux. Leur influence est actuellement très débattue, du point de vue du monde de l' entreprise, des défis pour les jeunes et leurs projets, ainsi que de leur utilisation en tant que moyen de communication dans tous les domaines. Les réseaux sociaux sont un grand moyen de diffusion de l'information; l'utilisation adéquate de cet instrument nous permet donc de connaître et de promouvoir qui nous sommes, c'est-à-dire qu'il ne s'agit pas seulement d'un simple instrument personnel, mais aussi d'une méthode de promotion de notre identité et de nos biens. L'objectif de ce forum est de connaître comment nous pouvons utiliser cet outil pour diffuser et promouvoir la conservation patrimoniale.
Date: mercredi 16 février 2011 Heure: 19h00 Lieu: Rues 5 de junio et 1era. Constituyente, Maison de l' INPC – Regional 3.
Nous avons le plaisir de vous annoncer le lancement de notre blog "Équateur: Archéologie et Diplomatie". Nous vous invitons à le visiter et à vous exprimer sur les diverses thématiques qui y sont présentées, en vous inscrivant comme membres ou en nous envoyant vos commentaires. Merci également de le diffuser parmi vos contacts.
La direction régionale de l'INPC (siège de Cuenca) a présenté son Glossaire du Patrimoine Immatériel de Azuay. Cette oeuvre a été élaborée par Oswaldo Encalada, Viviana Iñiguez et Diego Castro, qui ont compilé une série de terminologies et variantes lingüistiques dans Azuay et sa région, faisant partie du langage quotidien actuel et passé. Le glossaire sera distribué dans les établissements éducatifs et les intéressés pourront avoir accès à l'oeuvre dès la semaine prochaine par le biais de la page web de l'INPC.
D'après la Ministre, "la culture a toujours été à la périphérie de l'État, elle n'a jamais occupé une place de choix. A travers ses déclarations sur le développement culturel en tant que politique d'État, le Gouvernement souligne l'importance de celui-ci". Elle a rajouté qu'une autre des actions accomplies pour la culture dans le cadre de cette administration gouvernementale a été le Décret d'État d'Urgence Patrimonial et le Système National de la Culture, domaines qui contribuent tous deux au développement de cet aspect de la société équatorienne. Une autre des annonces faites par Erika Silva se réfère au travail inter-institutionnel entre les divers ministères du pays, tel que celui du Tourisme, qui est relié aux offres culturelles promues aussi bien sur le plan national qu'international, parmi lesquels le Projet ITT-Yasuní et le reste du Patrimoine équatorien dans son ensemble sont à signaler.
Le processus du transfert des biens culturels de la Banque Centrale au Ministère de la Culture s'achèvera en mars, selon les autorités correspondantes. Parmi les biens à être gérés par le Ministère de la Culture, l'Auditorium de Pumapungo est à souligner; ceci facilitera l'accès à cet espace à de nouveaux groupes, en particulier artistiques et collectifs.
Les politiques culturelles qui guident ce processus pour 2011 seront centrées autour de cinq axes: décolonisation, droits culturels, industrie culturelle, nouvelle identité, inter-culturalité et "réevolution".
Diego Jaramillo, responsable de la Direction d'Espaces Historiques, a manifesté que les études définitives au sujet de la récupération de la rue Santa Ana et de l'ancien Séminaire San Luis seront remises au cours des prochains jours.
À travers la Direction Régionale de Guayas, l'Institut National du Patrimoine Culturel a intronisé un nouvel espace de diffusion appelé "Espace Patrimoine", qui a pour but de socialiser et débattre de sujets ayant trait à la gestion du patrimoine culturel à travers la participation du public à des ciné-forums, des forums et des discussions, d'après un programme pré-établi qui abordera des sujets d'intérêt pour l'ensemble de l'opinion publique, tels que: Archéologie, Histoire, Architecture, Anthropologie, Sciences Humaines, Cultures Urbaines, etc.
Cet espace s'est ouvert le 3 février dernier avec la présentation Guayaquil Historique, une exploration chronologique de la ville, avec des commentaires sur des récits de Requena, Wolf et Emilio Estrada, jusqu'aux découvertes de Francisco Huerta Rendón, qui a trouvé des vestiges préhispaniques dans cette région du littoral. José Chancay et Telmo López ont présenté les recherches archéologiques qui ont été menées dans la zone, dans le cadre des Projets Archéologiques éxécutés par l'INPC, comme le Sauvetage Archéologique du site Las Iguanas (1994), "Archéologie du Grand Guayaquil" (trois phases) et le Programme Archéologique de Sauvetage Imprévu, Samanes (1996)- site archéologique urbain. En outre, les résultats des recherches menées au Centre Historique de Guayaquil en vue de la construction des tunnels des collines Santa Ana et del Carmen entre 1999 et 2000 ont été présentés; des traces du premier établissement de Guayaquil (1547 jusqu'au grand incendie de 1896) y avaient été trouvées.
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
María Arévalo, abogada del Instituto de Patrimonio Cultural, (INPC), da cuenta que magistrados de la ciudad han fallado a favor de la institución en diez acciones de amparo constitucional, planteadas por ciudadanos que se consideran perjudicados en sus derechos por cuanto un acuerdo de la ministra de Cultura, Erika Silva, declaró como bienes del patrimonio de la nación a algunos inmuebles en la zona de El Ejido.
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
En el Código Orgánica de Organización Territorial, Autonomía y Descentralización (COOTAD), determina que los bienes patrimoniales deben ser administrados por los gobiernos cantonales. El Consejo Municipal de Cañar quiere administrar los bienes patrimoniales del cantón, entre los cuales se destacán el Complejo Arqueológico de Ingapirca y los complejos de Narrío, Zhunkomarka, Paredones y de Culebrillas.
Le mercredi 9 février 2011 a eu lieu la réunion de la Commission Nationale de Lutte Contre le Trafic Illicite de Biens Culturels. Pour la première fois, la mise en place d'un système interinstitutionnel qui servira au contrôle et au suivi exhaustif des plaintes pour vol ou trafic de biens patrimoniaux ainsi que leur rappatriement, est traitée. Ce système sera articulé à partir de chacune des institutions spécialisées dans les sujets liés au patrimoine culturel, et servira à rendre ces processus plus efficaces.
Par ailleurs, un compte-rendu des activités développées par les diverses institutions qui conforment la commission a également été présenté.
Le Collectif Citoyen d'Archéologues Professionnels d'Équateur s'est formé le 6 janvier dernier, dans l'intention de faire entendre sa voix tout en définissant une position claire et ferme des membres de la profession face aux politiques d'état actuellement en cours d'implantation en ce qui concerne la gestion du patrimoine. Cette intention du Collectif a été manifestée par le biais d'une lettre envoyée à la Présidence de la République avec une copie aux différentes institutions liées au domaine du patrimoine naturel et culturel. En outre, lors des réunions suivantes, le Collectif a établi le besoin de définir les lignes directrices d'une "politique institutionnelle publique pour la recherche, la conservation, la protection, la mise en valeur et l'usage social du patrimoine archéologique au niveau national", politique qui se trouve actuellement en cours de rédaction. Ainsi, la prochaine réunion aura lieu le jeudi 10 février à 10:00 a.m. au Site Archéologique Rumipamba (avenues Occidental et Mariana de Jesús, Quito). Nous en profitons pour faire un appel à tous les collègues impliqués dans le monde de l'archéologie équatorienne à assister à ces rencontres. Votre participation est décisive: nous sommes tous d'accord sur le fait que le contexte politique actuel est clé, et que la gestion de l'archéologie dans le pays requière de changements radicaux. Par conséquent, en tant que membres d'une même profession, nous sommes tous responsables de cette situation: se plaindre de façon constructive, c'est bien, mais il ne faut pas non plus oublier d'agir.
Incógnita (Énigme), c'est le nom que nous avons donné à l'effigie qui préside et veille sur le site Arqueología Ecuatoriana, depuis toutes les fenêtres. Son origine est anecdotique, comme presque tout d'ailleurs dans la pratique archéologique équatorienne. Il s'agit d'une pièce unique, sans contexte connu, tombée entre nos mains de façon très paradoxale.
Dernières nouvelles
