« Ne permettez pas qu'on emporte nos biens ». C'est le slogan sous lequel l'Institut National de Patrimoine Culturel (INPC) et les Nouveaux Courriers de l'Équateur ont entrepris une campagne afin de récupérer des œuvres d'art qui ont été volé  dans le pays.

Vendredi passé, à la Circasiana, siège de l'Institut, a été effectué la cérémonie de lancement d'une collection de timbres. Sur cette dernière, cinq œuvres d'art colonial sont reproduites, appartenant à des auteurs de l'École de Quito.

Le Christ Ressuscité est une œuvre que Manuel Chili, Caspicara, a taillée en bois de cèdre et a employé des techniques de polychromie, chairs et yeux de verre. La sculpture se trouvait dans le Musée d'Art Colonial jusqu'à 1999, lorsqu'elle a été soustrait.

Celle-ci est la seule œuvre volée représentée sur la dans la collection de timbres.

L'objectif de la série est de localiser celle-ci et d'autres pièces qui ont été soustraites de musées, de couvents et d'églises situées à Quito.

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La lites des œuvres d'art volées sur le site du Ministère des Affaires Étrangères