Les structures de ce qui fut autrefois l'imposant campement minier de la South American Development Company, la première compagnie minière transnationale à exploiter de l'or en Equateur vers la fin du XIXème, sont abandonnées malgré leur présence dans l'inventaire du patrimoine de Portovelo. Aujourd'hui, les mauvaises herbes recouvrent une grande partie de l'énorme infrastrucutre métallique.

Jusqu'ici, nous n'avons pas eu connaissance de l'existence de quelque plan spécifique visant à protéger cet immeuble, mais l'Association des Amis du Patrimoine de Portovelo, le Ministère de Coordination du Patrimoine Naturel et Culturel (à travers l'INPC, Insitut National du Patrimoine Culturel, ndt), et le Ministère de la Culture sont en train de travailler à la sauvegarde de cet héritage du patrimoine d'importance nationale, à travers le Décret d'Etat d'Urgence du Patrimoine.

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