La construction de canalisations près des plages de Atacames a révélé plusieurs pièces et structure archéologiques qui ont été distribuées entre les découvreurs. Alors que les pilleurs vendent les vestiges archéologiques dans le pays et à l'étranger, la Mairie et l'INPC (Institut National du Patrimoine Culturel, ndt) analysent les actions nécessaires à entreprendre pour la protection de ces vestiges.

Lire l'article dans El Comercio
Débat sur la vente des biens culturels sur nos forums
Débat sur la notion de patrimoine culturel en Équateur sur nos forums