Écrit par Gaëtan Juillard
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Vendredi, 30 Décembre 2011 11:02 |
Par le biais d'un crédit remboursable accordé par la Banque Interaméricaine pour le Développement (BID) pour un montant de US$ 37 840 000, le Ministère de Coordination du Patrimoine s'est proposé -entre autres- d'améliorer l'état de conservation des Biens Culturels et Patrimoniaux de l'Équateur. La somme totale estimée pour cette opération est de US$ 40 000 000, dont US$ 37 840 000 seront financés sur le taux d'intérêt du capital ordinaire de la Banque, et le restant sera pourvu comme contrepartie locale.
Les axes du futur projet se résument comme suit :
- Renforcement du registre et systématisation de l'information des Biens Culturels et Patrimoniaux
- Mise en place de projets pilotes et interventions prioritaires pour la récupération du patrimoine
- Développement de modèles de gestion durable pour les projets liés aux Biens Culturels
- Renforcement du cadre juridique et institutionnel des Biens Culturels et Patrimoniaux, incluant des inititatives législatives et règlementaires
En savoir plus sur la page web du Ministère de Coordination du Patrimoine Lire "Ecuador fortalecerá protección de su patrimonio cultural con préstamo del BID" dans Ecuador Inmediato Lire "El BID presta 37,8 millones de dólares a Ecuador para fortalecer la cultura" dans La Hora
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Mise à jour le Mercredi, 11 Janvier 2012 17:33 |
Écrit par Gaëtan Juillard
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Vendredi, 02 Décembre 2011 04:48 |
Dans le cadre de la célébration des douze ans de la déclaration de Cuenca comme Patrimoine Culturel de l'Humanité par l'UNESCO, le Ministère de Coordination du Patrimoine et la Mairie de Cuenca ont signé un accord de Coopération Interinstitutionnelle pour la récupération et la mise en valeur des biens du patrimoine emblématiques de la ville, jeudi dernier (1er décembre 2011), dans la Cathédrale Ancienne.
Lire "Ministerio Coordinador de Patrimonio suscribió convenio con Municipalidad de Cuenca" sur le site du Ministère de Coordination du Patrimoine Lire "Alcaldía de Cuenca recibirá recursos para conservar bienes patrimoniales" dans El Mercurio
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Mise à jour le Lundi, 05 Décembre 2011 13:59 |
Écrit par Jorge G. Marcos
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Mardi, 22 Novembre 2011 04:34 |
Les archéologues, anthropologues et historiens ayant participé au Symposium International d'Archéologie réalisé à Ciudad Alfaro ont signé la "Déclaration de Picoazá", un document de quatre pages qui met en avant l'effort réalisé par l'État Équatorien en matière de conservation et d'investigation du Patrimoine archéologique des sites Cerro de Hojas et Jaboncillo, qu'il reconnaissent comme patrimoine "d'une valeur inestimable et transcendante".
Le document a été signé le 27 octobre à la salle des fêtes de Picoazá, en présence des autorités cantonales et des citoyens de cette localité considérée comme "Patrimoine vivant de l'Équateur" du fait de ses origines en tant qu'ancien centre de réduction indigène.
Dans son préambule, la déclaration de Picoazá signale que le passé des peuples américains n'a pas été suffisamment étudié, raison pour laquelle l'héritage des premières sociétés du continent n'est ni viabilisé, ni mis en valeur. La cause en serait le manque de politiques gouvernementales ainsi que l'usage biaisé de catégories scientifiques occidentales et euro-centriques dans l'étude de ce passé.
Les archéologues signataires de la Déclaration de Picoazá reconnaissent que le site archéologique Cerros de Hojas-Jaboncillo et leurs alentours est un patrimoine d'une valeur inestimable et transcendante pour approfondir la connaissance des premiers peuples américains et pour réaffirmer notre identité culturelle. Dans ce cadre, il est souligné que son paysage culturel et naturel doit être conservé et interprété dans toute sa dimension socio-culturelle.
Avant de signer le document, les archéologues ont parcouru le site archéologique, où l'on trouve des traces de réalisations techniques préhispaniques et une planification urbaine uniquement rendue possible grâce à la présence d’une société complexe telle que le fut la formation étatique Manteña, qui fleurit entre les provinces de Esmeraldas, Manabí, Santa Elena, Guayas et El Oro.
Télécharger la Déclaration de Picoazá [PDF]
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Écrit par Danny Zborover
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Mardi, 22 Novembre 2011 04:27 |
L'École de Terrain de Cochasquí (Équateur) 17 Juin-21 Juillet 2012
Jadis un centre important du puissant royaume Caranqui, Cochasquí figure aujourd'hui parmi les sites archéologiques les plus importants en Équateur. Le "Projet Interdisciplinaire Cochasquí" vise à explorer et intégrer les riches données archéologique, historique et ethnographique associées à ce site monumental et cérémoniel. Grâace à une prospection régionale intensive et des études complémentaires en laboratoire, les étudiants bénéficieront d'une expérience pratique, et travailleront en étroite collaboration avec des scientifiques équatoriens. Par la suite, les élèves mèneront un travail de recherche interdisciplinaire original à travers des travaux ethnographiques et ethnoarchéologiques, où ils seront pleinement submergés dans le riche légat culturel de la communauté indigène locale.
Coût: US$5,200 pour les étudiants faisant partie du système CSU; US$5,350 pour les autres
Crédits: 8 crédits semestriels de la California State University Northridge
Pour en savoir plus, contacter Danny Zborover:
Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
Adresse postale: 1855 Industrial St. #106, Los Angeles, CA, 90021, USA Page Web: http://www.ifrglobal.org/programs/current/ecuador-cochasqui
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Mise à jour le Mardi, 22 Novembre 2011 12:04 |
Écrit par Ran Boytner
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Jeudi, 17 Novembre 2011 13:15 |
L'Institute for Field Research a commencé à recruter des étudiants en vue du démarrage de ses écoles de terrain pour 2012. Parmi les quelques écoles de terrain de l'IFR proposées cette saison, quatre auront lieu dans les Andes:
- Pérou/Chincha – Chip Stanish (UCLA), Directeur
- Pérou/Vitor – Maria Cecilia Lozada (University of Chicago), Directeur
- Pérou/Moqui – Colleen Zori (UCLA) & Ran Boytner (USC), Directeurs
- Équateur/Cochasqui – Danny Zborover (University of Calgary) & Ran Boytner (USC), Directeurs
Nous vous remercions de bien vouloir informer vos étudiants au sujet des atouts de ces écoles de terrain. Par le biais d'un partenariat avec la California State University Northrgidge (CSUN), les étudiants bénéficieront de huit crédits semestriels en échange de leur participation dans chacune de ces écoles de terrain.
L'IFR est à l'avant-garde des écoles de terrain en archéologie professionnelle. L'IFR est une organisation professionnelle indépendante créée par des archéologues et pour des archéologues. Notre Comité de Direction inclut des archéologues de renommée internationale venant des meilleures universités partout dans le monde. Toutes nos écoles de terrain adhèrent à des critères académiques de premier niveau, à un agenda rigoureux et à un engagement sérieux lié à la pédagogie de terrain. Sur une base continue et vigoureuse, l'IFR dirige la recherche et l'enseignement dans toutes ses écoles de terrain. Nous fournissons une assurance tout risque complète rarement offerte par la plupart des universités. Nous garantissons à nos élèves un cadre sécuritaire, et participons aux recherches de terrain les plus passionnantes et novatrices du monde.
L'IFR cherche à entraîner la nouvelle génération d'archéologues professionnels. Les étudiants désirant poursuivre leur carrière en dehors de la discipline sont également les bienvenus. Nous sommes persuadés qu'offrir à ces élèves une expérience solide et professionnellement rigoureuse aidera à leur inculquer une estime profonde et une relation durable avec l'archéologie. Ceci aidera aussi à construire une plateforme publique pour l'archéologie, la protection du passé et la mise en valeur du patrimoine culturel global.
Ran Boytner, Ph.D. Directeur, Institute for Field Research Professeur, USC Department of Anthropology Co-Fondateur, USC Institute for Shared Heritage Co-Directeur, Tarapaca Valley Archaeological Project
Nous vous remercions de bien vouloir informer vos étudiants au sujet des atouts de ces écoles de terrain. Par le biais d'un partenariat avec la California State University Northrgidge (CSUN), les étudiants bénéficieront de huit crédits semestriels en échange de leur participation dans chacune de ces écoles de terrain. L'IFR est à l'AVANT-GARDE des écoles de terrain en archéologie professionnelle. L'IFR est une organisation professionnelle indépendante créée par des archéologues et pour des archéologues. Notre Comité de Direction inclut des archéologues de renommée internationale venant des meilleures universités partout dans le monde. Toutes nos écoles de terrain adhèrent à des critères académiques de premier niveau, à un agenda rigoureux et à un engagement sérieux par rapport à la pédagogie sur le terrain. Sur une base continue et vigoureuse, l'IFR dirige la recherche et l'enseignement dans toutes ses écoles de terrain. Nous fournissons une assurance tout risque complète rarement offerte par la plupart des universités. Nous garantissons à nos élèves un cadre sécuritaire, et participons aux plus recherches de terrain les plus passionnantes et CUTTING EDGE au monde. L'IFR cherche à entrainer la nouvelle génération d'archéologues professionnels. Les étudiants désirant poursuivre leur carrière en dehors de la discipline sont également les bienvenus. Nous sommes persuadés qu'offrir à ces élèves une expérience solide et professionnellement rigoureuse aidera à leur inculquer une profonde estime et une relation durable avec l'archéologie. Ceci aidera aussi à construire une plateforme publique pour l'archéologie, la protection du passé et la mise en valeur du patrimoine culturel global.
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Écrit par Gaëtan Juillard, Catherine Lara
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Jeudi, 17 Novembre 2011 00:44 |
Récemment, l’Institut National du Patrimoine Culturel (INPC) a lancé une série d’outils et de base de données, orientés vers la gestion et la recherche sur le patrimoine culturel de l’Équateur, au moyen d’un portail internet spécialisé. Ce système "Sistema de Información para la Gestión del Patrimonio Cultural" se dénomme ABACO (1).
Les objectifs sont les suivants : « Le Système dispose d’une connotation de caractère conceptuel très importante, du fait qu’il ne s’agit pas uniquement d’organiser l’information dans un système informatique de grande capacité et déploiement, mais aussi de le transformer en un outil national pour la gestion des Patrimoines Matériels et Immatériels; un outil qui permettra, prochainement de conter sur une information géo-référenciée du Patrimoine dans le pays, afin de la visualiser de façon objective dans les projets d'aménagement du territoire que doivent développer les gouvernements autonomes décentralisés dans le cadre du Code Organique d'Aménagement du Territoire, des Autonomies et de la Décentralisation (COOTAD). (...) L'information est organisée en modules et peut être utilisée pour élaborer des statistiques, des cartes, des fiches, etc." (Manuel, p. 2)
Ces outils sont des témoins réels des efforts menés à bien depuis le Décret d'État d'Urgence du Patrimoine qui ont permis, pendant plusieurs mois, à des chercheurs, restaurateurs, conservateurs et autres techniciens, de réaliser plusieurs campagnes sur le terrain et dans les les rayonnages des institutions culturelles afin évaluer l’état de conservation et d’inventorier les biens culturels du pays, ainsi qu’améliorer leurs sécurités.
C'est donc dans ce contexte que l'INPC a ouvert au public son système "ABACO" pour la gestion des biens culturels. Une base de données alimentée par les fiches de l'inventaire des biens culturels qui s'est réalisé au cours des différentes étapes du Décret d'État d'Urgence. C’est une très bonne nouvelle en soi. Les autorités gouvernementales se donnent enfin les moyens de veiller sur le Patrimoine équatorien. De telles bases seront également de grande utilité pour les chercheurs -et le public en général-, qui disposeront de données sur les gisements, les collections et le mobilier appartenant au patrimoine national de manière simple et toujours actualisée. Le portail prétend permettre l’accès à la totalité des fiches de l’inventaire patrimonial avec sa description, localisation, « histoire » scientifique, état de conservation et niveau de pillage/destruction. Cet outil est complémentaire du système géo-référencié de gestion du patrimoine, ouvert il y a quelques mois déjà. De plus, la base ABACO prétend maintenir à jour les informations sur les biens archéologiques mobiliers (localisation, état de conservation, sécurité, « histoire » scientifique et interventions de restauration).
Pour les citoyens équatoriens, il est possible de demander un accès d’utilisateur avec mot de passe. Il semble que pour le moment, cette fonctionnalité soit limitée aux seuls ressortissants équatoriens. En théorie, cela devrait permettre aux utilisateurs d’éditer et actualiser les fiches de la base. Ce point n’a cependant pas pu être vérifié pour le moment.
À première vue, les objectifs du projet et le mode opératoire (portail internet) sont de grand intérêt et permettent de développer efficacement la collaboration entre tous les acteurs et entités liés au patrimoine culturel. Malheureusement, l’interface de consultation et de recherche semble peu intuitive pour les utilisateurs ; toutefois, celle-ci englobe l’ensemble des composantes du patrimoine culturel, matériel et immatériel : Biens Immatériels, Biens Documentaires, Biens Archéologiques, Biens Mobiliers et Biens Immobiliers. Par ailleurs, pour informer les visiteurs, l’INPC a édité un guide destiné aux fonctionnaires des municipalités et qui présente les grandes lignes du portail (2).
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Mise à jour le Mercredi, 11 Janvier 2012 08:22 |
Écrit par Gaëtan Juillard
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Mercredi, 16 Novembre 2011 13:23 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
El director de proyectos emblemáticos del Ministerio Coordinador de Patrimonio, Joaquín Moscoso, indicó hoy que se trabaja en la creación de una red de ciudades patrimoniales del Ecuador que permitan a los municipios intercambiar mecanismos y herramientas de gestión territorial en este ámbito, articulado entre diferentes niveles de gobierno y, sobre todo, de escala municipal para cooperar e intercambiar relaciones, esfuerzos, mecanismos y herramientas de gestión territorial sobre los patrimonios.
En entrevista para radio Pública, precisó que, en un principio, hace un año atrás ya se han agrupado 22 ciudades patrimoniales y el número va en aumento. En el caso de la provincia de Santa Elena, mencionó que se ha incluido como patrimonio al campamento industrial de Ancón. Guayaquil también integra la red de ciudades patrimoniales.
Más detalles en EcuadorInmediato
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Mercredi, 16 Novembre 2011 12:37 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
Se halló varios vestigios arqueológicos en el sector El Condado (Noroccidente de Quito). El Ministerio Coordinador de Patrimonio inició un plan de rescate de estos bienes.
Con la colaboración de un equipo de criminalística de la Policía Nacional, de arqueólogos de la Pontificia Universidad Católica del Ecuador y a la predisposición del propietario del terreno en el que se encontraron los restos, se inició la intervención ayer. El hallazgo consiste, en el momento, en ocho enterramientos humanos, ubicados a casi dos metros de profundidad bajo la superficie, y acompañados únicamente por objetos de piedra (obsidiana, basalto y piedra pulida).
De acuerdo con una aproximación preliminar basada en la observación estratigráfica y de los materiales culturales encontrados, estas osamentas datarían de aproximadamente 3500 años de antigüedad – correspondientes al período formativo temprano, o incluso a la época precerámica. Sin embargo, este primero fechamiento sera revisado después de los resultados de datación radio-carbonico. Esta interpretación tentativa se fundamenta, sobre todo, en la falta de restos de cerámica asociados, lo que indicaría que el hallazgo corresponde a un momento anterior a la primera aparición de la cerámica en la sierra norte del Ecuador.
La intervención del Ministerio Coordinador de Patrimonio se canalizará por medio del programa SOS Patrimonio, en coordinación con el Instituto Nacional de Patrimonio Cultural.
Leer "Importante descubrimiento arqueológico en Quito" en el portal del Ministerio Coordinador de Patrimonio
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Jeudi, 10 Novembre 2011 09:39 |
Le canton Cotacachi possède 197 biens matériaux et 25 biens immatériaux. Cette liste fait partie du Patrimoine Culturel du canton qui, en accord avec le nouveau Code d'Aménagement du Territoire, doit être conservé par la Mairie. Celle-ci se trouve dans l'obligation de soutenir des projets visant la préservation, la conservation et la diffusion du patrimoine architectonique, culturel et naturel. Des fonctionnaires de l'Institut National du Patrimoine Culturel ont indiqué que ces biens ne doivent subir aucune modification, restauration ou réparation sans l'autorisation de l'Institut.
Ce-dernier communiquera prochainement les paramètres à prendre en compte afin de désigner certains biens en tant que Patrimoine du canton. Les sanctions appliquées aux propriétaires qui ne remplissent pas ces normes seront également précisées.
Source: La Hora
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Jeudi, 10 Novembre 2011 09:35 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
Tres museos ubicados en Quito (Tulipe, Rumipamba y La Florida) albergan vestigios de la cultura Quitu s y cuentan su historia desde hace varios siglos.
Leer "Tres museos Arqueológicos en quito muestran sus tesoros" en Hoy
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Écrit par Ministerio Coordinador de Patrimonio
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Samedi, 22 Octobre 2011 06:17 |
Ce mardi 25 octobre au Palais de La Circasiana, le Ministère de Coordination du Patrimoine présentera le projet "Entreprends ton Patrimoine", qui cherche à engendrer la formation de petites entreprises autour des biens, services et produits associés à la protection et mise en valeur du patrimoine culturel des équatoriens. Cette initiative a pour but de canaliser, -par concours-, des fonds non-remboursables de jusqu'à 8.500 $, afin de soutenir financièrement les initiatives gagnantes. Dans le but de garantir une importante appropriation des postulants à "Entreprends ton Patrimoine", cette initiative se caractérise par une structure de co-financiation qui exige aux gagnants un apport de 1 680$ en contre-partie.
Dans sa première étape, ce concours convoquera les propositions d'inititatives d'entreprises patrimoniales dynamiques du District Métropolitain de Quito, avec le soutien de l'Agence Métropolitaine de Promotion Économique CONQUITO et la coopération technique spécialisée de l'Agence Espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (AECID).
Les projets peuvent être présentés jusqu'au 25 novembre 2011 et les normes de participation seront publiées à partir du 27 octobre 2011 sur la page web: www.emprendecuador.ec/emprendepatrimonio
En savoir plus... Web: www.emprendecuador.ec/emprendepatrimonio Lire "Proyecto “Emprende Patrimonio” busca generar emprendimientos productivos en temas patrimoniales" sur la page web du Ministère de Coordination du Patrimoine
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Mise à jour le Mercredi, 02 Novembre 2011 17:35 |
Écrit par David Keefer
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Mardi, 11 Octobre 2011 13:28 |
Cher Collègue,
Nous tenons à vous informer que la Première Circulaire de lancemenent de la 8ème Conférence Alexandre von Humboldt du EGU (European Geosciences Union, ndt) sur les "Catastrophes Naturelles, le Changement Global et la Préservation des Sites Classés au Patrimoine Mondial de l'Humanité", qui aura lieu à Cusco les 12 et 16 novembre 2012, peut désormais être téléchargée sur: http://meetings.copernicus.org/avh8/avh8_first_circular.pdf
Les informations supplémentaires liées au lieu de la conférence, aux annonces particulières, aux frais d'inscription, hébergement, ainsi que d'autres aspects d'intérêt seront détaillés dans la "Deuxième Circulaire et Appel à Participation", qui vous sera envoyée par la suite. Si vous désirez la recevoir ou avez des questions particulières, n'hésitez pas à contacter
Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
Nous vous remercions de bien vouloir diffuser cette information et/ou de la mettre à la disposition d'autres collègues susceptibles d'être intéressés.
Peter Fabian, European Geosciences Union (EGU) Julio Rojas-Bravo (UNSAAC)
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Mise à jour le Mardi, 11 Octobre 2011 17:04 |
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