Écrit par Katharina Schreiber
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Lundi, 30 Mai 2011 07:41 |
Le département d'Histoire de l'Université de Western Michigan est endeuillé par la perte de notre amie et collègue, Catherine Julien, qui est décédée le vendredi 27 mai 2011, à Turlock, Californie. Elle avait 61 ans.
Plus d'informations sur la vie de Catherine et sur le service funéraire.
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Mise à jour le Mardi, 31 Mai 2011 06:22 |
Écrit par Ernesto Salazar
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Lundi, 30 Mai 2011 07:34 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
No acabamos aun de reponernos de la pérdida de nuestro colega Rodrigo Erazo y ya tenemos que hacer frente al deceso de nuestro amigo Miguel Angel Fonseca. Fue alumno de la Escuela de Antropología (PUCE) y desde sus inicios mostró una vocación muy fuerte por la Arqueología. Se entrenó bien en el campo, lo que le permitió colaborar con numerosos colegas en tareas de asistente de arqueología, que las llevó a cabo con mucha responsabilidad, iniciativa y excelente sentido del humor. Los que tuvimos la oportunidad de trabajar con él, extrañaremos siempre su compañía. Paz en su tumba.
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Écrit par INPC 7
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Vendredi, 27 Mai 2011 07:15 |
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El Instituto Nacional de Patrimonio Cultural, Dirección Regional Loja inicio una consultoría cuyo estudio estará a cargo del Centro de Transferencia y Desarrollo de Tecnologías de la Universidad San Francisco de Quito (CTT-USFQ).
La consultoría, que se ejecutará en ocho meses (la consultoría inició el 5 de mayo), buscará elaborar el estudio integral sobre los aspectos arquitectónico, socio-económicos, histórico, antropológico, arqueológico y medio ambiental. La finalidad es realizar un sistema de pueblos, con arquitectura vernácula, articulados al espacio territorial y al paisaje cultural, superando la visión individual de patrimonio para pasar a una visión integral del conjunto cultural, y la vinculación de este a todas las manifestaciones culturales propias de la zona.
Dentro del proceso de Consultoría se realizó el primer recorrido de campo que contempló la identificación de los sitios y puntos de referencia visitados fueron: Duraznillo, Paja Blanca, Macainuma, Laguangora, Naranjito, Cera, Cachipamba, Taquil, Machay, Guayanuma, Gonzabal, Chantaco, Chuquiribamba, Gualel, El Ari, El Cisne. San Francisco, Salati, Curtincapa, Guishawuiña, Portovelo, Pinto, Trapiche, El Prado, Chiguango, Zambi, San Pedro, Guayquichuma, Lourdes, Chorrera, Morales, Ambocas, Santa Teresita, Pogllo, Catamayo, Loja.
Cabe destacar que este proyecto se realiza en base a la experiencia desarrollada por el INPC en el cantón San Antonio de Urcuqui, provincia de Imbabura.
Paralelamente al estudio se completará los registros de bienes patrimoniales existentes.
Más detalles en el portal del INPC
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Jeudi, 26 Mai 2011 13:44 |
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Un grupo de investigadores italianos, colaboradores de la Unión Latina, encontró en la Biblioteca Nacional Eugenio Espejo de la Casa de la Cultura Ecuatoriana, 147 páginas encuadernadas de un ejemplar único, de puño y letra de Aimé Bonpland, naturalista, médico y botánico francés, célebre por la expedición que realizó junto con Alexander Von Humboldt a América.
El hallazgo está constituido por 12 folios manuscritos y 135 dibujos originales fechados en Montevideo, 1850, cubiertos con pasta en cuero y cartón, y láminas trabajadas en plumilla y con tinta china, cada una acompañada de su respectiva nomenclatura al pie, escrita en español, en guaraní y en ocasiones en tupí.
La Biblioteca Nacional del Ecuador y la Unión Latina están empeñadas en realizar una edición facsimilar, para lo cual se ha formado un grupo multidisciplinario de operadores culturales, diplomáticos, docentes y especialistas, quienes preparan un plan de edición acorde a la relevancia de la obra.
Más detalles… Leer "Hallazgo en la Biblioteca de la CCE" en La Hora Leer "Único libro del botánico francés Bonpland en la CCE" en el portal de la CCE
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Mercredi, 25 Mai 2011 16:36 |
Le jeudi 19 mai dernier, le Directeur Régional de l'INPC et le Maire de Jama ont passé un accord de coopération institutionnelle qui permettra de renforcer les efforts afin de mener des recherches archéologiques et ethnohistoriques. La durée du travail est estimée à deux mois. L'Institut National du Patrimoine Culturel financera les recherches.
En savoir plus sur la page web de l'INPC
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Écrit par Gaëtan Juillard
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Mercredi, 25 Mai 2011 11:44 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
La Ministra de Cultura de Ecuador junto a la Ministra Coordinadora de Patrimonio, la Presidenta de Conaculta, Consuelo Saiza, embajadores, cuerpo diplomático y delegados, asistieron ayer a la IX Reunión de la Comisión Mixta de Cooperación Cultural entre México y Ecuador.
Este encuentro tiene por fin lograr un trabajo mancomunado entre México y Ecuador en distintas áreas: patrimonio, cultura, artes plásticas y exposiciones, música, artes escénicas, danza, teatro, literatura, televisión, radiodifusión, cinematografía, audiovisuales, etc. apoyándose en fortalezas mutuas, riquezas individuales y recursos de cada país en beneficio de ambas naciones. Entre los puntos que se aprobaron en el convenio constán:
- Fortalecer los vínculos de cooperación en materia de rescate, restauración, resguardo, conservación, protección, catalogación y difusión del patrimonio y la cultura.
- Favorecer la cooperación para la promoción, producción y formación cultural y artística.
- Impulsar el intercambio y presentación de orquestas, coros, grupos instrumentales, grupos vocales y/o solistas de música académica, sinfónica infantil y juvenil, popular y tradicional.
Más detalles… Leer "Ecuador y México suscriben convenios sobre cooperación cultural y patrimonial" en el portal del Ministerio de Cultura Leer "IX Reunión de la Comisión Mixta de Cooperación en Cultura y Patrimonio Ecuador-México" en el portal del Ministerio Coordinador de Patrimonio Leer "Ecuador y México suscriben convenios sobre cooperación cultural y patrimonial" en el portal del Ministerio Coordinador de Patrimonio
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Écrit par UTPL
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Mardi, 24 Mai 2011 04:18 |
Mathilde Temme, archéologue allemande, s'est réunie avec les enseignants chercheurs des écoles de Géologie et Mines ainsi que d'Art et Design de l'Université Particulière de Loja (UTPL).
Le but de la réunion a été de partager les progrès en cours d'un projet archéologique actuellement réalisé par Mathilde Temme aux côtés de l'UTPL.
Mathilde Temme signale qu'elle est actuellement en train de diriger des fouilles dans le bassin du Jubones, au nord de la province de Loja, une zone semi-aride où elle aurait trouvé plus de 80 000 restes répartis entre outils en pierre, tessons, ainsi qu'ossements d'animaux, datant d'une période répartie entre 1 700 avant J.C. environ, jusqu'à l'arrivée des Espagnols.
Une activité semblable est également en cours d'exécution dans le canton Saraguro, près de la limite avec le canton de Oña (province de Azuay).
Lire "Se realizan investigaciones arqueológicas en la provincia de Loja" sur le blog de l'UTPL
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Mise à jour le Lundi, 30 Mai 2011 07:53 |
Écrit par Gaëtan Juillard
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Samedi, 21 Mai 2011 13:23 |
D'après le gérant du Complexe Archéologique de Ingapirca, le traitement technique et environnemental de la structure en pierre, ainsi que la construction et la réhabilitation des bâtiments et services internes et externes du site requiert un investissement minimum de US $ 4.000.000. Un projet de financement pour le traitement et la conservation de la pierre des bâtiments et structures du complexe a été présenté à l'Ambassade des États-Unis, dans le cadre du "Programme Ambassadeurs", dont le financement atteint le million de dollars.
La construction d'un nouveau musée avec des salles virtuelles est prévue à moyen terme. Le musée qui existe actuellement a été construit dans les années 80. Son état vêtuste s'est aggravé au cours des cinq dernières années de conflit administratif latent dont il a fait l'objet.
Le centre de services communautaires abritera une réserve de tout le matériel archéologique des différentes périodes d'interventions archéologiques passées et présentes.
Un centre documentaire sera prochainement mis en place; ce-dernier présentera la mémoire institutionnelle du complexe et comptera d'une bibliothèque spécialisée autour des sujets liés à l' archéologie, le patrimoine et la culture de la région. Un secteur administratif sera inclus pour le fonctionnement des bureaux, ainsi qu'une salle de formation et d'expositions.
Le Complexe Archéologique de Ingapirca ne dispose pas d'un budget gouvernemental: il vit des rentes engendrées par le tourisme national et international. Afin d'obtenir des ressources financières destinées à l'investissement et l'administration, un projet est actuellement en cours de préparation au Secrétariat National de Plannification et de Développement (SENPLADES). Celui-ci cherche à obtenir de l'État les fonds économiques manquants nécessaires aux interventions.
En savoir plus...
Lire "Fondos para rehabilitar Complejo Ingapirca" dans El Mercurio
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Mise à jour le Mardi, 24 Mai 2011 04:38 |
Écrit par Francisco Valdez
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Mardi, 03 Mai 2011 02:29 |
Nous avons le regret de vous faire part du décès de notre collègue et ami Rodrigo Erazo, survenu le 1er mai 2011, suite à quatre ans d'une lutte acharnée contre le cancer. Son absence nous attriste énormément, puisque nous perdons avec lui un exemple éloquent de ce que signifie être un archéologue honnête et optimiste en Équateur. Rodrigo était marié à Mme. Bertha Villacrés, et fut le père exemplaire de quatre enfants.
Rodrigo est né le 1er juillet 1943. Son père, originaire de Riobamba et sa mère, née à Montecristi, le dotèrent généreusement de tous les gènes indispensables à un quiténien digne de ce nom. Dès son enfance, il eut l'occasion de connaître les divers aspects de son pays, puisque la carrière militaire de son père conduisit la famille à habiter entre Riobamba, Macas, La Libertad et Quito. Lors de son adolescence, il eut l'opportunité d'apprendre les mille et un offices qu'exerçait son père entre la caserne et la maison. Il apprit à jongler dans le cirque que son père dirigea pendant quelques temps. Il s'initia ensuite dans le commerce de jouets et de mobilier domestique au moment où la famille se consacra à l'importation de ces ingénieux objets venus de l'étranger. En dernier lieu, il apprit ce qu'est l'hospitalité à l'Hôtel Métro, que la famille tenait à Riobamba. Ces antécédents aiguisèrent sa curiosité et son désir d'enseigner. À Quito, il s'inscrit à la faculté de pédagogie de l'Université Centrale, où il obtint sa licence en 1975. Peu de temps après, il connut Lenin Ortiz, avec qui il fit amitié, et qui lui transmit sa passion pour l'archéologie. Début 1977, il bénéficia d’une bourse IESSE/INAH pour obtenir un diplôme en archéologie et histoire à la fameuse École Nationale d'Histoire et d'Anthropologie de México. Il y partagea plusieurs expériences avec des compatriotes tels que Jorge Núñez. En 1978, il retourna en Équateur pour s'intégrer à l'équipe fondatrice de l'Institut National du Patrimoine Culturel, où avec passion et brio, il collabora avec Rodrigo Pallares afin d'impulser la première loi et règlement de l'INPC. Il fut également très actif dans la préparation de la déclaration de Quito en tant que "ville patrimoine culturel de l'humanité". Dans l'épopée pionnière de l'Institut, Rodrigo travailla à titre d'archéologue de terrain et de laboratoire; sa dose d'idéalisme dépassait de loin son capital financier. À l'INPC, il eut l'occasion de connaître l'archéologie de plusieurs endroits du pays, et de la Sierra nord en particulier. Rodrigo fut un des premiers chercheurs à travailler les tombes en puits de La Florida, à Quito. C'est avec son soutien que l'archéologue Léon Doyon se pencha ensuite sur l'étude de cette problématique. Cependant, sa passion permanente fut le petit village de San Pedro de Valdivia, où, il y 3 000 ans, l'orfèvrerie fut travaillée avec art. Il sentait un attrait particulier pour ce hameau de pêcheurs et sa vocation de pédagogue le mena à former la première commune de Valdivia, aux côtés de la population locale. Il travailla à la déclaration de la commune et eut la fierté de compter parmi ses membres fondateurs. Il s'occupa de la création d'un musée et de l'organisation de la population locale pour la défense de ses biens patrimoniaux. En guise de remerciement, la commune baptisa une de ses rues à son nom. Fidèle à ses idéaux, c'est là qu'il choisit l’emplacement de sa dernière demeure.
En 1986, il s'unit à l'équipe d'archéologues des Musées de la Banque Centrale, et devint le premier archéologue qui se pencha sur la thématique de l'archéologie industrielle en Équateur. Rodrgio fit une étude des restes matériaux de la fabrique de textiles San Gabriel, située sur les berges du fleuve Cutuchi, à Latacunga. Ses travaux mirent en évidence l'infrastructure matérielle d'une usine qui fonctionna entre fin XIXème et début du XXème siècle. Ses efforts aboutirent à la Déclaration de l'ancienne fabrique comme bien du patrimoine culturel de l'État (Registre officiel #477 du 6 juillet 1994), par le Ministère de l'Éducation. D'autres études le menèrent à se pencher sur les terrasses agricoles des provinces de Cotopaxi et Chimborazo. En 1994, il quitta le Musée de la Banque Centrale et se consacra à mener des projets pour le Fond de Sauvetage Patrimonial de la Mairie de Quito (FONSAL d'après ses initiales en espagnol). Il collabora aux projets de Carte Archéologique de la zone métropolitaine de Quito, du bloc NW Pacto (projet Tulipe), du parc archéologique et écologique Rumipamba, et de La Florida de nouveau, avec María del Carmen Molestina. Il effectua ses derniers travaux à Cocotoc.
Rodrigo fut professeur à l'Université du Pacifique (2004-2006), à l'UNITA et au Collège Cristóbal Colón de Carapungo. Au cours de sa vie, il consacra beaucoup de temps au travail communautaire et à l'enseignement, en collaborant par exemple avec le pédagogue Telmo Hidalgo dans la communauté de Quinchuquí. Malgré les limitations du milieu, il tâcha d'être actualisé en permanence dans ses connaissances. En 2009, il obtint la maîtrise en Archéologie et Environnement de l'Université Centrale de l'Équateur. Rodrigo fut en outre une des pionniers de l'interprétation iconographique, à travers l'application de sa théorie sémiotique. Quand il s'intégra à la section "Histoire" de la Maison de la Culture Équatorienne en mars 2010, il prononça un discours académique sur le motif de la croix carrée dans l'iconographie de la région de Quito.
Sa vie a toujours été un exemple de lutte constante de dépassement de soi, de défense de ses idéaux et surtout, d'honnêteté. Ceux parmi nous qui avons eu la chance de le connaître avons toujours admiré son courage, sa persévérance et sa volonté de donner le meilleur de lui-même pour vaincre les obstacles. Rodrigo avait les qualités les plus importantes d'un sage, à savoir, l'humilité et la générosité. Il ne dénigra jamais personne. Sa bonne humeur et son amitié sincère nous manqueront beaucoup, désormais...
En solidarité avec sa famille, les amis et collègues avons décidé de contribuer à l'effort que signifie pour un homme honnête de débuter son voyage dans l'au-delà, raison pour laquelle nous nous permettons d'inclure ici le numéro de compte de son épouse à la Banque Pichincha: Mme. Bertha Villacrés, #3461504600.
Paix en sa tombe.
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Écrit par Fernando Mejia
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Lundi, 02 Mai 2011 06:14 |
Aujourd'hui est décédé le collègue Rodrigo Erazo, pour beaucoup seulement connu par ses travaux de recherche et pour d'autres, par sa gentillesse. Rodrigo Erazo fut un professionnel influencéedès les début par le marxisme structuraliste, et descendant d'une génération qui s'est efforcée de théoriser des opinions non officielles et, pourtant, pas toujours reconnues.
Paix en sa tombe.
Son service funèbre aura lieu le lundi 2 mai 2011, à la maison Girón (Quito), à partir de 10 heures
Le Collège d'Archéologues Professionnels de l'Équateur
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Mise à jour le Mercredi, 25 Mai 2011 11:55 |
Écrit par Gaëtan Juillard
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Jeudi, 21 Avril 2011 19:01 |
Il n'existe pas de traduction pour le moment. Merci de votre compréhension.
A partir del primero de mayo del año en curso, el Complejo Arqueológico Ingapirca atenderá de lunes a domingo, de manera ininterrumpida.
Leer los detalles en el portal del INPC
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Écrit par Claire Smith
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Mercredi, 13 Avril 2011 07:30 |
J'ai le regret de vous informer que le Professeur Lewis Binford, le chercheur dont le nom évoque tout un mouvement intellectuel au sein de l'archéologie, est décédé. Son optimisme et sa ferveur intellectuelle ont eu une influence majeure sur plusieurs générations d'archéologues.
Lewis Roberts Binford est né le 21 novembre 1930. Il obtint sa licence à l'Université de Caroline du Nord et son master ainsi que son doctorat à l'Université du Michigan. Il a publié plus de 150 ouvrages au cours des 50 dernières années, parmi lesquels beaucoup sont devenus des titres de référence dans la théorie et la pratique de l'archéologie. Ses publications les plus influentes s'étendent sur plus de quarante ans, et incluent:
- 1962 Archaeology as Anthropology, American Antiquity 28:217-225.
- 1968 New Perspectives in Archaeology. Co-édité par S.R. Binford, Aldine Publishing Company, Chicago.
- 1978 Nunamiut Ethnoarchaeology. Academic Press, New York.
- 1981 Bones: Ancient Men & Modern Myths. Academic Press, Londres.
- 1983 In Pursuit of the Past. Thames and Hudson, Londres.
- 1989 Debating Archaeology. Academic Press, New York.
- 2001 Constructing Frames of Reference: an analytical method for archaeological theory building using ethnographic and environmental data sets. University of California Press, Berkeley.
- 2004 Ethnographically Documented Hunter-Gatherer Peoples: A Baseline for the Study of the Past. Princeton UP, Princeton.
Lewis Binford fut le pionnier du courant de la "Nouvelle Archéologie", dans les années 60. Sa vision en faveur d'une vision scientifique de l'archéologie a éloigné la discipline du simple catalogage d'histoires culturelles au profit de l'utilisation de méthodes scientifiques orientées vers l'explication des processus culturels et de formation des sites. La carrière académique de Binford a d'abord eu pour quartier général l'Université du Nouveau Mexique, et la Southern Methodist University ensuite. Ce fut un chercheur engagé, une source d'inspiration; un professeur chaleureux et généreux. Intellectuellement parlant, son départ nous appauvrit autant que son existence nous enrichissait. Il était l'un des grands esprits de l'archéologie.
Il laisse derrière lui sa fille, Martha, ainsi que sa femme et co-équipière, Amber Johnson.
Le WAC (World Archaeological Congress) publiera prochainement une note nécrologique.
Amitiés, Claire Smith Présidente du World Archaeological Congress
Source: World Archaeological Congress Newsletter Lire la necrologie de Lewis R. Binford dans The Telegraph
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Mise à jour le Jeudi, 12 Mai 2011 08:46 |
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