Incógnita (Énigme), c'est le nom que nous avons donné à l'effigie qui préside et veille sur le site Arqueología Ecuatoriana, depuis toutes les fenêtres. Son origine est anecdotique, comme presque tout d'ailleurs dans la pratique archéologique équatorienne. Il s'agit d'une pièce unique, sans contexte connu, tombée entre nos mains de façon très paradoxale.
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Alrededor de mil textos reposan en las repisas de la biblioteca de la Catedral Primada de Quito. Algunos incunables del siglo XVI y una gran mayoría del XVII y XIX: textos de teología, liturgias y actas copan los cientos de volúmenes. Algunos corales (libros de partituras) del siglo XVII.
El acceso al espacio físico de la biblioteca es de aceso libre, pero el acesso a los libros es restringido a los investigadores. En épocas anteriores era el espacio exclusivo para los padres canónigos.
La biblioteca se conecta con la sala Capitular cuyos muros son una galería de los retratos de los 38 obispos de Quito desde 1545, cuando se originó el obispado en la capital. Al fondo se halla la sala del Tesoro, donde se guardan las vestiduras de los obispos desde el siglo XVII. Los colores púrpuras para semana santa, rojo para los mártires y el negro de luto se conservan en vitrinas en esta sala. Los conjuntos se complementan con guantes, casullas y mitras adornadas con piedras preciosas.
La iglesia es una colección de estilos arquitectónicos, "al menos siete" según Daniel y van desde el tradicional barroco, a lo gótico y sus derivaciones. Este hecho se debe a las varias refacciones y restauraciones que se han efectuado en este templo.
El museo de la Catedral, abierto desde el 2007, esta abierto a todos.
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La Dirección de Áreas Históricas y Patrimoniales del Municipio (DAHP) inició los trabajos de prospección arqueológica en el sitio de El Plateado, en la parroquia de Nulti.
Los estudios son realizados por la Unidad de Arqueología Urbana y tendrán una duración de 10 semanas, con el objetivo de construir la línea base de la importancia arqueológica de las estruycturas, muros y cerámicas que se encuentran en el sitio de El Plateado, cuya extensión aproximada es de 350 hectáreas.
El 22 de diciembre del 2010, la Alcaldía de Cuenca firmó un Convenio de Cooperación Interinstitucional con la Universidad del Azuay para la elaboración de la línea base de biodiversidad de El Plateado de Nulti; para lo cual se han planificado varias reuniones de socialización con la comunidad involucrada, previstas para el mes de abril.
Le Ministère de Coordination du Patrimoine a signé un accord avec GIZ et son Programme GESOREN, dans le but de développer une composante d'assistance institutionnelle et stratégique pour la conservation des ressources naturelles. L'objectif est rechercher des axes d'action communs et un Projet de Changement dans le cadre du Régime de Développement de la Constitution équatorienne, et atteindre les objectifs 4,7 et 8 du Plan National du "Bien Vivre".
Le projet qui sera promu grace à l'accord signé concerne le soutien à la gestion durable des patrimoines naturel et culturel du pays, et aura une durée de 9 mois. Le budget total du projet est de 125.950 dollars, parmi lesquels 50.000 viendront de la coopération GIZ. Cet accord vise à apporter son soutien technique au Ministère de Coordination du Patrimoine en ce qui concerne la mise en valeur du patrimoine naturel et culturel ainsi que sa gestion intégrale sur tout le territoire, et la consolisation de l'instutionnalité gouvernementale nationale dans l'exercice de la capacité de régulation et de contrôle des patrimoines. Pour juin 2011, l'on espère compter d'une proposition technique et juridique pour la création d'un organisme de régulation et de contrôle des patrimoines naturel et culturel et une stratégie pour sa mise en place. En outre, pour octobre de cette année, l'on espère pouvoir disposer d'une proposition conceptuelle et méthodologique territoriale pour la gestion intégrale et durable du patrimoine naturel et culturel, articulée et construite de manière participative.
Dans le cadre de l'Accord d'Éxécution souscrit entre le MAE et GIZ, le Programme "Gestion Durable des Ressources Naturelles" GESOREN prévoit l'éxécution de la Quatrième Phase du Programme, qui sera effectuée entre 2010 y 2013. Le soutien allemand sera de 6,5 millions d'euros qui viendront s'ajouter aux excédents des apports des étapes antérieures.
Le lundi 28 mars dernier, l'Institut National du Patrimoine Culturel (INPC) a présenté la plannification pour débuter la Deuxième Étape du "Projet de Transfert des Biens Culturels de la BCE au Ministère de la Culture". Des autorités, des fonctionnaires et des Audits Internes du Ministère de la Culture et de la Banque Centrale, ainsi que des fonctionnaires de l'INPC ont assisté à cette réunion. Pour les phases II et III, le travail de l'INPC consistera à assurer la vérification et donner l'aval technique de 337 029 biens culturels répartis dans des fonds archéologiques, ethnographiques et documentaires.
Le chef de l'État, Rafael Correa, a présenté la réforme au Secteur Culturel, où l'évaluation des fonds d'adjudication remis par le Gouvernement chaque année -qui, d'après le Président, ne sont pas en train d'être utilisés correctement- est mise en avant. L'institutionnalisation du secteur et la configuration d'un système national de bibliothèques sont d'autres points sensibles du point de vue du Ministère concerné, qui essaie de faire approuver une nouvelle loi.
Les fonds étaient mal répartis, si l'on en croit le Président Correa. "Il y avait des Organismes Non-Gouvernementaux experts en ce qui concerne l'obtention d'argent pour des projets sans aucun type de transcendance, sans aucun genre d'impact ni même une articulation des politiques publiques d'aucune sorte", a-t-il reproché. Le Chef de l'État a annoncé que la qualité de chaque projet sera prise en compte. "Des standards de qualité très rigoureux. Nous n'allons pas tomber dans la médiocrité, pas au nom de la démocratie".
Les fonds que l'État attribue à la culture s'employaient à des dépenses courantes, a manifesté le Président au cours de la plus récente de ses interventions radio hebdomadaires. "Tout était dispersé, vous savez bien que nous dépensions plus de 100 millions annuels en culture. Une partie pour la Banque Centrale (...), la Maison de la Culture (organisme autonome qui a plus de 600 fonctionnaires) ainsi que l'Institut du Patrimoine Culturel et le Ministère de la culture avec leurs plus de 1 000 fonctionnaires. La plus grande partie de l'argent était destinée à des frais d'activités courantes", a-t-il dénoncé.
De son côté, la titulaire du portefeuille, Erika Sylva, a demandé aux députés une vision inclusive afin d'approuver la Loi. "Nous demandons une nouvelle Loi Nationale Culturelle, nous attendons de l'Assemblée une nouvelle Loi à partir de la vision que nous allons présenter".
Le noyau du système serait un Ministère renforcé, qui exercera la direction de quatre sous-systèmes définis en accord aux fins établies par la Constitution: le sous-système des arts et de la créativité; le sous-système de la mémoire sociale; le sous-système des initiatives culturelles; et enfin, le sous-système du patrimoine culturel.
Les interventions municipales dans le secteur de El Vado seront intégrales et afin d'en laisser une preuve aux prochaines générations, un témoin des vestiges archéologiques touvés sur le site, -tels que la rue pavée qui se trouve sous la place- sera mis en évidence sur les lieux. C'est ce qu'a manifesté Esteban Cordero, directeur de l'Unité Éxécutrice de la Mairie de Cuenca, institution qui a pris en charge l'exécution des travaux en question la semaine dernière.
La mise en place d'un monument sur la place est également prévue, bien que la nature de celui-ci ne sera pas imposée par la Mairie: ce seront les besoins des habitants de ce quartier traditionnel de Cuenca qui seront pris en compte, -a rajouté Cordero. Une fois la décision prise, le gouvernement local prévoit d'assurer les démarches pertinentes afin de chercher le financement nécessaire pour la construction et installation du monument.
Projet
Une autre des oeuvres à être éxécutée sur les lieux est la remise en place de la toiture de la structure qui contient la croix symbolique du quartier, ainsi que de la main courante. Il faut rajouter à ceci la ré-adéquation des rues entourant la place, tels que la rue piétonne qui va de la croix jusqu'à la rue Tarqui et de la rue Bajada del Vado (le segment qui va de la rue De La Cruz jusqu'à la rue La Condamine).
Le montant de l'investissement pour la première étape sera de 355.000 dollars; la deuxième quant à elle nécessitera 451.000 dollars en plus, qui assureront la ré-adéquation de la rue de la Cruz sur deux segments, ainsi qu'un pâté de maison de la rue Juan Montalvo.
Par le biais d'une certification de restitution volontaire, signée le 6 janvier 2011 à Tucson (Arizona -États-Unis), un ensemble de 12 pièces archéologiques appartenant, selon les autorités culturelles, aux cultures Negativo del Carchi, Cuasmal, Jama-Coaque et Bahía a été remis aux autorités consulaires équatoriennes.
Les cinq mille mètres carrés de l'espace architectural d'un des plus grands couvents d'Amérique Latine, le complexe religieux de San Francisco de Quito, se caractérise du fait d'avoir en sa possession une des collections d'oeuvres d'art les plus grandes et variées, avec 30 000 oeuvres environs. La bibliothèque de ce couvent s'est fait connaître récemment, grâce à la nouvelle du début du processus de catalogation digitale de textes datant des XVIème, XVIIème et XVIIIème siècles.
Ce processus s'est étendu sur une durée de plus d'un an. Il a débuté en 2007. Les textes les plus anciens (c'est-à-dire, 13 000 oeuvres environ) ont été séparés. Cette "Bibliothèque Ancienne" conserve les textes que les franciscains ont emporté avec eux lors de leur voyage vers Quito. Cet espace est ouvert aux chercheurs.
Le travail n'est pas encore terminé: la quantité de livres encore en processus de catalogation est estimée à 30 000.
L'implication des mairies et des gouvernements locaux est clé pour identifier, investiguer, protéger et diffuser l'héritage culturel laissé par les peuples de l'Équateur au cours des millénaires. Voici les bases du nouveau plan "SOS Patrimoine" coordonné par le Ministère de Coordination du Patrimoine, qui prétend reconstruire des milliers de biens oubliés ou en cours de destruction: de l'architecture monumentale jusqu'aux traditions et expressions orales, en passant par les sites archéologiques, les arts du spectacle et beaucoup d'autres domaines encore. Cette année, les gouvernements locaux recevront 16.8 millions de dollars pour contribuer à ces efforts. L'aide du Ministère consistera en un crédit non-remboursable qui représentera de 30 à 40% de la valeur totale du projet.
D'après la ministre María Fernanda Espinosa, le but est d'engager les mairies ou les représentants des communes à ce qu'ils considèrent les biens du patrimoine comme essentiels à l'amélioration de la qualité de vie de la population, "puisqu'ils engendrent du tourisme et dynamisent les économies locales". Jusqu'ici, les attentes du Ministère ont été dépassées (déjà 33 projets qualifiés).
L'Équateur a terminé le processus de conservation préventive de plus de 3.7 millions de documents, dont quelques-uns datent de presque cinq siècles dans le cas de la province de Chimborazo. Il s'agit de documents éparpillés dans diverses institutions de la province. Les archives soumises à cette démarche de conservation comptent parmi les plus anciennes du pays: parmi elles, certaines datent du XVIème siècle, mais la plupart sont des XVIIème, XVIIIème et XIX ème siècles.
Sept versions des corrections à prendre en compte pour la proposition de règlementation des activités archéologiques en Équateur ont été reçues. L'équipe chargée de la rédaction du texte les rend publiques à l'intention du collectif archéologique national. N'ayant pas reçu d'autres points de vue par écrit ou par mail, nous assumons que la plupart des collègues sont d'accord avec le texte en question.
Il y a eu des opinions et des propositions verbales au sujet de la présence de "Zones d'intérêt archéologique" issues de diagnostics et de reconnaissances, comme étape préliminaire à la définition de sites archéologiques au cours d'une phase de prospection, dans le cadre d'une nouvelle conceptualisation de ce que devrait être l'archéologie de sauvetage en Équateur. Cette proposition, réalisée par B. Camino, a été considérée comme particulièrement pertinente et sera analysée par la suite.
La propostion de MS Solórzano au sujet de la grille d'évaluation à être appliquée dans l'admission des rapports envoyés à l'INPC est également annexée.
Sur l'avis des autres directions régionales de l'INPC, il a été suggéré d'inclure dans ce règlement les procédures et les activités à suivre en ce qui concerne l'inventaire d'objets archéologiques, et de chercher à uniformiser les plateformes informatiques que l'INPC est sur le point d'inaugurer. Tout cela sera rajouté dans le prochain brouillon, en plus des corrections reçues.
Le mercredi 23 février à 11h00 aura lieu -à l'Église San Francisco- la présentation de l'oeuvre Iglesia y Convento de San Francisco: una historia para el Futuro, éditée par l'Institut National du Patrimoine Culturel (INPC), l'Agence Espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (AECID), et l'École Atelier San Andrés.
L'oeuvre recueille l'histoire du projet de restauration et mise en valeur du Couvent et de l'Église San Francisco de Quito, travail qui a été éxécuté pendant 20 ans par l'INPC et l'AECID, à travers un accord bi-national. Plus de 270 personnes spécialisées dans divers domaines de la restauration sont intervenues dans le projet, sans compter le soutien de plusieurs promotions d'une centaine d'élèves de l'École Atelier San Andrés.
Le projet, qui a débuté en 1983 et conclus en 2002, représente pour le moment l'effort le plus important réalisé à Quito dans ce sens, ce qui lui a valu d'obtenir le Prix International accordé par la Real Fundación de Toledo en 1993.
A travers sa Direction Régionale (5), l'Institut National du Patrimoine Culturel a réalisé la présentation de l'Inventaire et du Rapport Technique pour la Prolongation de la Déclaration Patrimoniale du Cimetière Général de Guayaquil et des Étrangers.
Cette étude a présenté l'Inventaire et le Dossier Final, ainsi qu'un CD interactif qui permet de visualiser la conformation et la valeur patrimoniale du Cimetière de Guayaquil, ainsi qu'une présentation du projet des Parcours Culturels qui cherche à exploiter touristiquement le Cimetière de Guayaquil.
Incógnita (Énigme), c'est le nom que nous avons donné à l'effigie qui préside et veille sur le site Arqueología Ecuatoriana, depuis toutes les fenêtres. Son origine est anecdotique, comme presque tout d'ailleurs dans la pratique archéologique équatorienne. Il s'agit d'une pièce unique, sans contexte connu, tombée entre nos mains de façon très paradoxale.
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